Là ça fait peur...
Quand tu écris "des VH qui résiste bien à un impact à 50 km/h sur un obstacle bas à 45° côté gauche" tu cites un protocole de test qui existe, ou tu l'inventes juste pour construire un exemple ?
2ème question : tu prétends que pourvu que ce test côté gauche soit positif, les constructeurs peuvent négliger la protection du côté droit, ou j'ai mal compris ??
je donnais des valeurs au pif, mais ton interprétation est bonne: c'est un grand foutoir.:
Poses-toi simplement la question: qui finance ?
Et pourquoi ce n'est pas EuroNcap qui achète de manière anonyme des voitures de série, mais des modèles fournis gracieusement (!) par les constructeurs ?
Vas lire cet article de wiki, c'est assez édifiant:
http://fr.wikipedia.org/wiki/EuroNCAP#Choc_frontalles dérives[modifier]
Comme toutes réglementations, l’EuroNCAP est victime du détournement de ses tests. On notera parmi les plus connus :
Les renforts crash peuvent être uniquement du côté conducteur (exemple : renfort de porte),
Les éléments de sécurité passive peuvent être supprimés pour les véhicules vendus hors d’Europe,
La spécialisation des conceptions efficaces à EuroNCAP et mauvaises dans le cas réel (exemple ci-dessous : compatibilité),
La comparaison entre voitures testées sous des conditions différentes mais ayant le même nombre d’étoiles (le règlement change mais pas le nombre d’étoile),
La distinction entre le choc frontal à gauche et à droite avec des véhicules de conceptions gauche ou droite (en général, les véhicules japonais sont conçus avec une conduite à droite, la place du moteur est inversée favorisant le choc coté droit).
Dans le cas de la compatibilité entre véhicules, cette problématique est apparue avec la première voiture 5 étoiles de l’EuroNCAP (Laguna II). Pour établir cette performance, Renault a renforcé considérablement le bloc avant (partie avant de la caisse comprenant le moteur, le train avant et le châssis). Les résultats sont très bon face à la barrière mais dans le cas réel les longerons sur-dimensionnés « empalent » la voiture d’en face. Cette conséquence non désirée est maintenant corrigée en augmentant la surface de contact entre les véhicules (barre entre les longerons). Le test associé est nommé test de compatibilité mais n’est pas encore intégré aux tests EuroNCAP.
Avec le recul, l’évolution des règles de EuroNCAP tend à supprimer les dérives.