J'ai toujours intuitivement pensé que ça devait être génial de conduire une voiture électrique
Je n'ai jamais été fan des beaux (ou pas) bruits des grosses mécaniques.
Jeune je n'ai jamais fait parti de ceux qui voulaient faire pétarader leur mobylette pour ressentir des sensations. ce n'était pas mon délire.
Pour les voitures même si je la comprends, je n'ai pas éprouvé cette sensation décrite comme presque enivrante de se sentir plaqué à la route, à ressentir intimement chaque accélération, chaque relief de la route, de faire fumer et crisser les pneus, d'avoir une conduite style rallye.
Pour moi au contraire, mon idéal c'était la puissance en silence, de grandes ressources mais tout en discrétion, l'air de rien.
L'électrique justement c'est ça. De l'accélération, du couple, mais sans vocifération, tout en classe et en discrétion.
Ma Jazz 4 me confirme mes envies. Il faut que ma copropriété soit équipée pour recharger ma prochaine voiture qui ne pourra être qu'électrique, c'est obligé.
Il y a toute une tranche de ma vie où la Honda e aurait été parfaite pour mon usage. J'aurais pu la charger tous les jours ouvrables à mon travail et je crois que je me serais régalé avec.
Mais si je garde ma Jazz 4 aussi longtemps que mon précédent véhicule, 20 ans, je ne serai probablement plus en âge de conduire, à part une voiture autonome, si d'ici là la notion de véhicule individuel a toujours cours