On est bien d'accord, sans décision politique le marché européen aurait été tout autre.
Parce que le lobbying des constructeurs européens avec leur chantage permanent à l'emploi était très efficace sur des politiques préoccupés par la montée du chômage.
Depuis le diesel gate, les choses ont changé, d'autant plus que malgré le soutien politique et les subventions dont ils ont bénéficié pour limiter les pertes d'emplois, ça n'a pas empêché les constructeurs européens de délocaliser l'essentielle de leur production dans des pays de moins disant social en réduisant du même coup les effectifs dans leur pays natal.