On verra si les constructeurs automobiles européens feront preuve d'autant d'inquiétudes pour l'emploi quand ils introduiront l'intelligence artificielle dans leurs process de développement et de production pour augmenter leur marge en se passant d'une bonne partie de leurs salariés...
Salariés ? Kesako ?
Ah oui, ça me revient : cette variable d'ajustement de toutes les politiques socio-economiques. Cette main d'oeuvre qui ne représente qu'un coût, toujours trop important...
Dernière illustration en date (désolé, j'ai eu le tort de rallumer la radio au retour de vacances) : l'exécutif confie une mission d'évaluation sur les arrêts maladie (qui coûtent trop cher évidemment) à un binôme composé du DRH d'un grand groupe industriel (SAFRAN) et d'un juge de la cour des comptes dont on connaît la seule et unique obsession, tailler dans les dépenses. Encore un machin avec deux jambes droite quoi.
Bizarre...il n'y a donc aucune intelligence du côté des premiers concernés par le sujet, les salariés, pour assumer le co-pilotage de la mission ?
Sans parler de la représentativité des petits patrons qui ne partagent peut être pas exactement les mêmes problématiques que Monsieur SAFRAN...