C'est le sujet ici, souvent sur l'autonomie du Véhicule Électrique (VÉ).
Cette barrière psychologique du kilométrage fétiche à atteindre.
Et après?
Alors oui, c'est possible et même en eNy1 annoncé pourtant à 410 km,
oui, c'est possible.
Mais pour quoi faire?
Je me souviens de ma première voiture, une Alfa Romeo 33 1.3 à double carbu(rateurs) Weber de 88 chevaux millésime 1992, qui malgré ses 50 litres de réservoir, ne m'a JAMAIS permis d'atteindre ces 500 km d'autonomie.
Jamais!
Au mieux je faisais 350 et peut-être que j'ai atteint les 420 km.
Et encore sur route, pas sur autoroute et encore moins en ville.
Oh c'était pas y a si loin que ça, c'était il y a 30 ans.
Je faisais Toulouse / Jard sur mer, en faisant un arrêt aux stands à Rochefort ou La Rochelle.
Et encore avec un jerrican de 10 litres au cas où dans le coffre.
Il y a même une fois où l'arrêt aux stands s'est fait à Saugon...environ 260 km après être parti.
Cette Alfa là, elle c'est la chaleur qui la défrisait.
Sitôt passé les 27/28° elle était assoiffée.
Bref.
Si on m'avait dit que 30 ans après on me ferait une maladie de ces 500 km d'autonomie...
J'aurais bien rigolé!
Et en fait, je rigole déjà.
Mais voilà, nous sommes tous devenus des gens pressés.
Pressés d'arriver, pressés de repartir.
Ne prenant même plus le temps d'un pique-nique à la fraîche.
Ni de la pause technique.
Messieurs votre prostate ne vous remercie pas!

Heureusement que le slogan "Les femmes et les enfants d'abord!" est encore en vigueur

Bref, franchement dites moi, c'est quoi ce schmilblik des 500 km?