Attention aussi à la valeur "réelle" d'un produit commercialisé. Comparer une machine à laver de 500 euros d'aujourd'hui à la fiabilité limitée ( de par son étude , donc quelque part c'est de l'obsolescence programmée ) avec une machine à laver de 500 euros d'il y a 25 ans n'a pas de sens,  car ces 500 euros il y a 25 ans ( en francs donc, représentait l'équivalent de quoi 1500 euros ? ) c'est bcp plus cher  ....et ça de nos jours presque personne ne conçoit de mettre pareil somme (1500 donc) dans une machine à laver  !!
Pour les automobiles c'est un peu different car globalement la fiabilité a énormément progressée si on compare des choses comparables !! ( en gros une voiture essence atmo avec une voiture essence atmo quoi.. .). De nos jours les embrayages, démarreur, amortisseurs , pompes, lampes, sièges,  etc qui donnaient souvent des signes de faiblesses dès 80000 km c'est du passé ou presque.  Quand j'etais jeune ....mon père avait toujours plein de frais avec ses voitures à partir de 5-6ans ( bon c'etait pas des japonaises ..) je m'en souvient encore.

Les papys, l'extinction des feux a sonné il y a bien longtemps déjà. Vous nous rejouerez la grande guerre une autre fois. Allez oust, au pieu ou le maton va se fâcher 

Il y avait déjà eu une longue discussion sur l'obsolescence programmée sur PH il y a quelques années. Facile à retrouver.

Pour ma part, je pense qu'elle existe bien dans certains cas, dont les ampoules El Fredo : pas besoin d'horloge pour décider qu'un filament sera cramé au bout de 1000 heures ou 1500 heures. Tout cela se calibre très précisément.
Il y a bien eu un accord officieux entre les fabricants d'ampoules américains dans la 1ère moitié du 20ème siècle, pour qu'elles ne durent pas trop longtemps.

Non c'est une vieille légende. En réalité l'accord a porté sur la standardisation de la durée par rapport à l'intensité. En effet, les lois de la physique sont les mêmes pour tout le monde : quand un filament est soumis à une certaine intensité électrique, il produit une lumière proportionnelle à sa résistance. A l'origine les fabricants vendaient des ampoules avec des caractéristiques différentes, ce qui compliquait la tâche des consommateurs : pour une même consommation en watt, certaines ampoules brillaient peu mais duraient longtemps, d'autres éclairaient plus mais grillaient plus vite, etc. Les industriels se sont donc mis d'accord pour que toutes les ampoules brillent et durent autant pour un nombre de watts donné. Et ainsi est née la légende du complot des fabricants d'ampoules. Mais dans le même temps les consommateurs ont pris l'habitude d'associer watts et intensité lumineuse, ce qui fait qu'aujourd'hui toutes les ampoules basse consommation ont une indication d'équivalence watt pour une lampe incandescente.

Par contre l'histoire de l'ampoule de la caserne de pompiers qui marche toujours depuis plus d'un siècle est exacte mais se démonte facilement : son rendement lumineux est déplorable
http://www.centennialbulb.org/cam.htm

CQFD.

Pour ce qui est des marques autrefois réputées mais dont la qualité a baissé mais pas le prix (l'exemple de Karcher ci-dessus), le coupable est paradoxalement l'irruption de la qualité au sens industrielle du terme (les normes ISO 9000 et tous ces trucs). En effet la qualité industrielle n'a rien à voir avec le mot de tout les jours, elle consiste tout simplement à mettre en adéquation l'offre et la demande. Les appareils d'antan étaient chers mais indestructibles, parce que les fabricants faisaient ce qu'on appelle de la sur-qualité : ils proposaient plus que ce que cherchait le consommateur. Ce sont les Japonais et dans une moindre mesure les Américains qui ont développé les premières méthodes de gestion de la qualité dans les années 50. Pour prendre un exemple, je ne sais plus quel fabricant japonais de caméras avait déterminé qu'un appareil à usage domestique n'était en pratique utilisé qu'une dizaine d'heures au cours de sa vie (le film coûtait cher à l'époque), il avait donc optimisé ses processus industriels pour garantir le fonctionnement des appareils pendant 10 heures, pas plus. Auparavant on aurait fait bosser des ingénieurs pour fabriquer les matériels les plus durables possibles, en contrepartie d'un coût élevé. Dorénavant on fabriquait des matériels qui répondaient avant tout au besoin des consommateurs, peut-être moins durables (et encore, beaucoup d'appareils dépassaient largement ces durées de vie), mais beaucoup plus abordables, pour un marché de masse. La vraie révolution a été culturelle : on est passé d'un modèle d'avant-guerre dirigé par les ingénieurs à un modèle d'après-guerre dirigé vers les consommateurs. Pour le meilleur ou pour le pire, vaste débat...

Tu as raison!
Mais le meilleur exemple c'est la Mercedes W123, une voiture d'ingénieurs !

Je confirme!! Pour l'avoir eue en 200D, 230E et maintenant en break 300TD, ce sont des voitures exceptionnelles.
Mais les productions Honda des 80s et 90s n'ont pas à rougir, loin de là.

Et le prix de la course ? 

Les prix sont imposés en France, à Vienne?
La classe affaire, c'est plus 30% par rapport à une course normale et il faut un abonnement (1500€/an je crois), un vrai luxe.

Je les aime bien les Tesla, c'est mon banquier qui les aime pas