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Jean13 · « **Réponse #2160 le:** 11 février 2010 à 15:32:43 »

Citation de: Jjipé le 11 février 2010 à 15:25:20

Et encore.. J'en suis pas sur. A mon avis le bouche à oreille va marcher (un peu comme ce que j'ai écrit plus haut) et je pense que tout hésitant qui aura un Toyotaphile à proximité lui demandera ce qu'il en pense et que ce sera une réponse un peu comme la mienne. Donc, à part ceux qui sont complètement perdus au fond de la brousse (mais ils ont un Land Rover et n'en changeraient pour rien au monde , je crois que tout ça n'aura que peu d'effet sur les ventes de Toyota, ou en tout cas un effet passager. Et puis tout ça fait du battage chez nous et en occident en général. mais en Asie (gros marché), je ne suis pas sur que ça fasse auatnt de vagues.

Je pense que c'est quand même drame national au Japon. Mérité ou pas, on ne doit jamais perdre la face.

Jjipé · « **Réponse #2161 le:** 11 février 2010 à 15:37:44 »

Citation de: Jean13 le 11 février 2010 à 15:32:43

Je pense que c'est quand même drame national au Japon. Mérité ou pas, on ne doit jamais perdre la face.

Alors là, oui. Tout à fait d'accord. Pour eux ça doit être une terrible humiliation. Moi, je parlais plutôt des marchés étrangers. Ca risque d'être d'autant plus dur que, si j'ai bien lu, la Prius est la voiture la plus vendue du Japon. Ouille...

Maverick · « **Réponse #2162 le:** 11 février 2010 à 15:44:55 »

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Pour eux ça doit être une terrible humiliation.
[/quote]
Il y a une époque pas si lointaine ou le boss la boite se serait fait hara-kiri pour moins que cela

Les bonnes manières se perdent, les traditions aussi

Jean13 · « **Réponse #2163 le:** 11 février 2010 à 15:58:34 »

Citation de: Maverick le 11 février 2010 à 15:44:55

[
Pour eux ça doit être une terrible humiliation.

Il y a une époque pas si lointaine ou le boss la boite se serait fait hara-kiri pour moins que cela

Les bonnes manières se perdent, les traditions aussi

Laisse lui un peu le temps, y'a tout un protocole pour le suppuku, ça s'improvise pas.

jcm · « **Réponse #2164 le:** 11 février 2010 à 16:11:06 »

Citation de: Lio66 le 10 février 2010 à 21:43:26

Par contre le galbe de la jupe arrière est très ... intéressant vais-je dire

Dommage qu'on ne voit pas les pare-chocs avants

Harry · « **Réponse #2165 le:** 11 février 2010 à 17:21:29 »

Vu qu'on s'occupe des enseignants dans "le pêle-mêle".....on peut bien parler de la Police

"Faites ce que je dis, pas ce que je fais"....on y a tous pensé quand on voit comment conduisent ceux qui nous dressent des ~~embuscades~~ PV parce qu'on ne respecte pas les règles !!

Voitures de la police : la Cour des comptes dénonce

La Cour des comptes a rendu son rapport 2010. Et parmi les dysfonctionnement pointés du doigt par les Sages de la rue Cambon, les dépenses jugées inconsidérées de la police nationale pour son parc automobile et de l'utilisation qu'elle en fait.

La Cour des comptes et ses Sages. Indispensable contre-pouvoir, à la tête de laquelle était placé Philippe Séguin depuis 2004. Comme un dernier pied de nez avant de partir, le dernier rapport du Premier président ne fait pas dans la dentelle. Ainsi, parmi les différents manquements pointés par le rapport 2010 de la Cour des comptes, figurent les gigantesques dépenses constatées au sein de des services centraux de la police nationale. Et notamment celles concernant son parc automobile.
Ainsi, le rapport de la rue Cambon indique que le nombre de voitures banalisées de la police nationale a connu une hausse de 21 % entre 2003 et 2008, pour atteindre désormais 1 469 unités. Parmi les services bénéficiaires, les formateurs (+ 54 %), la direction centrale de la sécurité publique (+ 44 %), le RAID (+ 35 %) ou encore les CRS (+ 33 %).

Hausses injustifiées
Et les Sages ne trouvent pas de justification à cette hausse : «La moitié de ces véhicules sont suréquipés, avec des motorisations inutilement puissantes ou des aménagements jugés trop luxueux», indique ainsi le rapport. Un suréquipement qui concernerait la moitié des véhicules en usage pour un surcoût par voiture estimé de 6 à 10%, soit une enveloppe estimée à 450 000 euros par an.
Les Sages s'interrogent par ailleurs sur les usages plutôt répandus de ces véhicules professionnels et pourtant utilisés à titre privé. Et remarquent que 31 des voitures de la préfecture de police sont mises à la disposition de personnalités politiques qui n'exercent pourtant aucune tâche au ministère de l'Intérieur.

Jungle free style
Et la liste des défaillances s'allonge : le nombre d’accidents de voitures enregistrés anormalement élevé, et trop souvent le résultat de conduite peu respectueuse du matériel et des règles élémentaires du code de la route ; la quasi absence de tenue à jour des carnets de bord des véhicules, notamment en matière d'entretien. Des voitures de surcroît parfois conduites sans autorisation, sans indication de lieu de mission. Bref, un laxisme organisé et qui semble n'inquiéter personne, n'était les contribuables qui, eux, sont toujours appelés en renfort pour payer la facture.

autonews.fr

hervetoutsimplement · « **Réponse #2166 le:** 11 février 2010 à 18:42:17 »

Volkswagen > 193.000 véhicules rappelés au Brésil

Le constructeur automobile allemand Volkswagen a annoncé jeudi 11 février le rappel de 193.620 véhicules au Brésil pour un problème dans le roulement des roues arrière des modèles Novo Gol et Voyage.

L'entreprise VW - installée au Brésil depuis plus de cinquante ans - a constaté que ce roulement arrière n'était pas suffisamment graissé.

"L'utilisation du véhicule dans ces conditions peut provoquer du bruit et son utilisation continue peut entrainer le blocage des roues. En cas extrême, la roue peut se détacher", avertit Volkswagen Brésil sur son site.

La campagne de rappel, qui commence jeudi, touche les modèles Novo Gol et Voyage fabriqués au Brésil avant juillet 2009.

L'entreprise précise avoir adopté cette mesure à titre "préventif".

VW est le deuxième constructeur automobile au Brésil, seulement dépassé par Fiat : en 2009, 703.068 véhicules sont sortis de ses usines, selon les chiffres de l'Association nationale des constructeurs de véhicules automobiles.

Ce rappel au Brésil intervient après ceux décidés par Toyota de 8,67 millions de véhicules dans le monde - dont la dernière version de la voiture hybride Prius - à cause de problèmes de freins ou d'accélérateur, mettant en difficulté le géant japonais.

Le constructeur allemand, réputé pour la fiabilité de ses modèles, en est toutefois à son troisième rappel au Brésil depuis 2008. En avril 2008, il avait avait dû rappeler 477.000 de ses petites voitures Fox pour faire des modifications sur le siège arrière dont le maniement avait causé des blessures.

En décembre 2008, Volkswagen Brésil avait encore annoncé le rappel de 120.000 voitures de ses modèles Fox, Novo Gol et Voyage pour résoudre un problème touchant les freins.

D'autre part, le constructeur américain General Motors avait été le premier, en 2002, à rappeler un million de voitures Corsa.

Volkswagen possède trois usines de montage au Brésil : à Sao Bernardo do Campo et Taubaté (Etat de Sao Paulo) et à Sao José dos Pinhais (Etat du Parana, sud). Au total, 22 modèles, y compris les modèles importés, sont vendus au Brésil, a précisé une porte-parole de la firme allemande à l'AFP.

Source : AFP

hervetoutsimplement · « **Réponse #2167 le:** 11 février 2010 à 20:59:30 »

689 millions de pertes en 2009

Coup dur pour PSA Peugeot Citroën : le groupe, tous actifs confondus, vient de dévoiler ses résultats financiers pour l’année 2009. Et le bilan est lourd : 689 millions d’euros de pertes dans le monde, contre 550 millions de bénéfices en 2008. Malgré une embellie du marché au second semestre, l’année, marquée par la crise du secteur, aura été difficile. Si PSA table sur une baisse de 9% du marché européen en 2010, il espère renouer avec un résultat positif dès le 1er semestre.

La crise a laissé des séquelles, et l’année 2009 a été difficile pour les constructeurs, tant en terme de ventes, que financièrement. PSA Peugeot Citroën a dégagé un chiffre d'affaires de 48,417 milliards d'euros en 2009, en baisse de -10,9% par rapport à 2008, pour une perte opérationnelle courante de 689 millions d’euros, à comparer aux 550 millions de bénéfices un an auparavant. La perte opérationnelle brute ressort à 1,41 milliard d’euros, contre 384 millions un an avant, tandis que la perte nette part du groupe se creuse à 1,16 milliard d’euros contre 363 millions en 2008.

Le constructeur souligne qu'au second semestre, il a renoué avec une marge opérationnelle courante positive (137 millions d’euros) et a limité à 84 millions sa perte opérationnelle brute. Le constructeur a généré un free cash flow positif de 809 millions d’euros sur l'exercice, et réduit sa dette à 1,99 milliards d'euros. Le consensus Bloomberg visait 47,7 milliards d'euros de ventes, une perte d'exploitation de -781,88 millions d’euros et une perte nette ajustée de 1,06 milliards d'euros.

Une année contrastée

La direction évoque « une évolution très contrastée » sur l'année, l'embellie du second semestre suivant les conditions difficiles du premier. « La division automobile a sensiblement réduit sa perte opérationnelle dans la deuxième moitié de l'année. Sur cette même période, Faurecia, qui commence à ressentir tous les bénéfices de son plan de redressement, a enregistré un résultat opérationnel courant positif. Gefco affiche une forte croissance de sa marge opérationnelle, tandis que Banque PSA Finance confirme ses bonnes performances », explique PSA.

Dans la division auto du groupe, la branche principale, le chiffre d’affaires généré par les ventes de véhicules neufs a reculé de 9,9 %, passant de 31 642 millions d’euros à 28 501 millions. La part de marché en Europe a en revanche augmenté, passant de 13,5 à 13,7 %.

« En 2010, les conditions de marché continueront à être difficiles, avec un marché européen en baisse de 9%. Nous pourrons cependant nous appuyer sur notre plan de performance automobile pour soutenir nos ventes, réduire les coûts et mieux utiliser nos capacités de production. Nous maintiendrons notre dynamique de lancement de nouveaux modèles et devrions continuer à améliorer nos parts de marché. Dans ces conditions, le résultat opérationnel courant du groupe devrait être positif au premier semestre 2010 », a commenté le président Philippe Varin.

hervetoutsimplement · « **Réponse #2168 le:** 11 février 2010 à 21:02:06 »

La Chevrolet Camaro Coupé et Cabriolet en Europe dès 2011

Au salon de Genève, Chevrolet va donner un aperçu de ce que pourront découvrir les clients qui viendront ces prochaines années dans les halls d’exposition des distributeurs Chevrolet.

« A la suite de la Cruze en 2009 et de la Spark en 2010, ce sont cinq Chevrolet encore plus séduisantes qui vont célébrer en Europe 2011, l’année de notre centenaire, » a annoncé Wayne Brannon, président et directeur général de Chevrolet Europe.

En 2011, Chevrolet lancera un tout nouveau monospace familial, basé sur le prototype Orlando, et la légendaire Chevrolet Camaro en coupé et en cabriolet.

Une très bonne nouvelle pour tout ceux qui bavent en admirant les photos des Camaro américaines ! Proposée à partir de 22 680 dollars aux USA avec le moteur 3,6 l V6 de 304 ch, il ne faudra pas s'attendre à un tarif similaire dans nos contrées (22 680 $ = 16 456 €). En effet, on table plus sur un tarif compris entre 30 000 et 40 000 euros !

hervetoutsimplement · « **Réponse #2169 le:** 12 février 2010 à 18:25:40 »

PV : les vices de forme pouvant entraîner l'annulation

Il est utile de le rappeler : les mentions figurant sur les PV doivent être vérifiées avec soin afin de pouvoir relever, le cas échéant, un vice de forme pouvant entraîner une annulation.

La plupart des infractions routières auxquelles les conducteurs sont confrontés sont des contraventions, c'est à dire des infractions moins graves et moins sévèrement sanctionnées que les délits et les crimes. Le procès-verbal, établi par les forces de police ou de gendarmerie, constatant une ou plusieurs contraventions fait foi jusqu’à preuve du contraire. Cela signifie qu’il est censé exprimer la vérité, à condition d’être régulier en la forme, sauf si le contrevenant peut prouver le contraire par tous moyens, notamment par la production d’un écrit ou par des témoignages. Bien entendu, les simples dénégations du conducteur, même de bonne foi, prétendant par exemple n'avoir pas brûlé un feu rouge ou s'être arrêté au stop n'ont aucun effet, puisqu'il ne rapporte pas la preuve contraire!

Les mentions qui figurent sur le p.v., conservé par la police ou la gendarmerie, doivent être vérifiées avec soin, afin de pouvoir relever, le cas échéant, un vice de forme qui pourrait le faire annuler. Il y a donc tout intérêt à examiner de près les mentions figurant sur le p.v. En effet, si certaines mentions sont incomplètes ou erronées, il pourra éventuellement être possible de contester la contravention, d'obtenir le classement sans suite de l'affaire ou de faire annuler la contravention par le juge pénal en obtenant la relaxe.

Le p.v. doit être régulier en la forme
Selon la loi, pour faire foi, le procès-verbal doit notamment être régulier en la forme, c'est-à-dire qu'il doit comporter certaines mentions obligatoires (art. 429 alinéa 1er du Code de procédure pénale).

Les procès-verbaux sont soumis à des conditions de forme exigées à peine de nullité qui ont été précisées par les tribunaux. Ces mentions obligatoires comprennent : la signature du ou des agents verbalisateurs, leur nom ou leur matricule, leur service, le lieu précis et la date de l’infraction, l’infraction reprochée ou la mention des textes mis en œuvre.

En ce qui concerne les radars automatiques, les procès-verbaux établis par ces appareils de contrôle homologués peuvent régulièrement comporter une signature manuelle numérisée. Les tribunaux contrôlent ces mentions obligatoires. Par exemple, dans un arrêt du 3 juin 1986, la Cour d'appel de Douai a jugé qu'un procès-verbal rédigé au crayon en une écriture illisible et sans mentionner le nom de l’agent était irrégulier, ce qui a entraîné la relaxe de l’automobiliste.

Le lieu précis de l’infraction doit être indiqué
Parmi les conditions de forme, la jurisprudence exige notamment que le procès-verbal indique le lieu précis de l’infraction. En matière d’excès de vitesse, la mesure relevée par un cinémomètre indique la vitesse d’un véhicule à un instant et en un endroit donnés. Le lieu exact du contrôle est pour les juges un élément essentiel à la localisation de l’infraction.

La jurisprudence est stricte sur le respect de ces conditions de forme. Selon une jurisprudence constante des tribunaux, dès lors que le lieu de l’infraction n’est pas précisément indiqué sur le procès verbal, ce dernier doit être déclaré irrégulier. C’est ce qui ressort en particulier de deux arrêts de la Cour de cassation du 4 avril 2007 et du 12 avril 2007. La Cour a retenu dans ces deux affaires qu’en l’absence de mentions précises sur le procès verbal du lieu de l’infraction, un doute subsiste sur la preuve de l’excès de vitesse. Le conducteur doit donc être dans ce cas relaxé.

Regardez-donc attentivement tout procès-verbal: pour être considéré comme précis sur le lieu géographique de l'infraction, le procès-verbal doit indiquer le point kilométrique ou le n° dans la voie ou le n° de lampadaire, le nom de la voie, et le sens de circulation.

Si certaines mentions du p.v. sont manquantes ou incomplètes, vous aurez une chance de succès en cas de contestation !

hervetoutsimplement · « **Réponse #2170 le:** 12 février 2010 à 18:30:28 »

Prototype : Citroën DS High Rider

Après le lancement DS3, Citroën va étoffer la gamme DS. À Genève, la marque aux chevrons proposera le concept DS High Rider. Cet hybride dévoilerait les grandes lignes d'un coupé premium.

Au salon de Genève, Citroën présentera l'étude préfigurant le nouveau modèle de la gamme DS. Après la DS3, une nouvelle DS pointe le bout de sa calandre. Ce coupé trois-portes a le regard d'une C5 et, comme avec la DS3, le toit a droit à une couleur différente. Planté assez haut sur des roues de 19 pouces, ce modèle de la ligne distinctive DS joue la carte du luxe et de la finition soignée à l'image du toit recouvert d'un matériau gainé de textile. Spécialité Citroën : le pare-brise remonte très haut sur le pavillon pour bien éclairer l'habitacle.

Le concept mesure 4,26 m de long pour une largeur de 1,82 m et une hauteur de 1,48 m, à peu de choses près les mensurations d'une C4 malgré sa garde au sol surélevée. Sous le capot, c'est du Diesel hybride. Le moteur HDi avec filtre à particules est jumelé à un groupe électrique monté sur l'essieu arrière. Ce concept peut rouler en mode électrique seul mais aussi avec la force conjointe des deux groupes motopropulseurs.

hervetoutsimplement · « **Réponse #2171 le:** 12 février 2010 à 18:33:23 »

Opel: concept mystère

Opel présentera en première mondiale un concept-car qui reflète les options choisies par le constructeur pour son développement : marier un design expressif et élégant avec l’ingénierie allemande pour relever les défis environnementaux de demain.

Associant design, innovation verte et propulsion alternative, ce modèle avant-gardiste est la preuve qu’il n’est pas nécessaire de sacrifier la taille et le confort pour obtenir une voiture environnementale efficace. Autre vedette de Genève : l’Opel Ampera, voiture électrique à autonomie augmentée. Cinq portes et quatre places, l’Opel Ampera respecte le calendrier qui prévoit la mise en production pour la fin 2011. Elle reprend la même filiation de design que l’Astra et l’Insignia, Voiture de l’Année 2009, pourtant elle emploie une technologie révolutionnaire de propulsion électrique appelée Voltec.

A la différence d’autres systèmes de propulsion électrique conventionnels, le Voltec utilise l’électricité comme source d’énergie primaire. Un moteur-générateur à essence, source d’énergie secondaire, produit de l’électricité quand la batterie est à plat pour permettre de continuer à rouler sans s’arrêter et sans transition. Cela permet à l’Ampera de surmonter tous les problèmes liés habituellement à l’autonomie limitée des voitures roulant à l’électricité pure.

hervetoutsimplement · « **Réponse #2172 le:** 13 février 2010 à 16:12:27 »

Essai Auto Moto : Aston Martin Rapide

Baromètre

Conduite 5/5 Ecologie 2/5 Sécurité 4/5 Budget 2/5 Confort 4/5

Note globale 12.4/20

Quatre ans après le concept dévoilé à Detroit, l’Aston Martin Rapide prend enfin la route. Se diversifier pour combler l’amateur de voitures de sport, c’est ce que la petite marque anglaise de Gaydon cherche à faire avec sa somptueuse Rapide. Comme Maserati et sa Quattroporte, Porsche et sa Panamera mais aussi quelques Mercedes Classe S AMG, Audi S8 ou Jaguar XJR, Aston propose à son tour un salon roulant à haute vitesse. Mais ici, aucun doute n’est permis. C’est bien elle la reine de la classe. Normal, au Royaume-Uni, les reines, on en a l’habitude.

Conduite 19/20

Rien que la fiche technique donne envie de passer derrière le volant à la jante ultra épaisse. Assez proche de la DB9 à laquelle elle reprend une grande partie de sa plate-forme qui, d’ailleurs, sert aussi au reste de la gamme, la Rapide a droit à un empattement qui passe ici de 2,75 m à 2,90 m profitant à l’espace des passagers arrière. La grande berline de 5,02 m de long reprend aussi et surtout son fabuleux V12 6.0 litres de 477 ch fort d’un couple de 600 Nm à 5 000 tr/mn. C’est là que les choses commencent à devenir intéressantes. Grâce à une structure tout en aluminium, comme toutes les Aston actuelles, le poids reste sous les deux tonnes -1 950 kg exactement selon la marque - soit 200 kg de plus qu’une DB9.

Rien que la procédure de mise à feu envoûte. Insérer la magnifique clé en cristal en haut de la console centrale et l’enfoncer à fond. Le V12 se met alors à gronder avec un feulement typiquement britannique qui impose le respect. La boîte automatique égrène les six vitesses avec une douceur remarquable. Malgré son gabarit et son poids coquet, dans l’absolu, la Rapide se montre d’une facilité déconcertante. Essayée en plein mois de janvier dans une campagne anglaise prise sous 30 cm de neige, nous effectuons les premiers miles avec prudence. Mais l’extraordinaire adhérence des pneus hiver de notre modèle d’essai rassure rapidement. Malgré une route totalement blanche, la motricité ne fait défaut que lorsque l’on laisse s’échapper quelques-uns des 477 canassons qui piaffent sous le capot. Direction légère, freinage facile à doser et bonne ergonomie mettent vite en confiance. Il faut à tout prix se diriger vers une route bien déblayée par la DDE locale.

Bien plus sûr de soi, on enfonce un peu plus profond la pédale de droite. Les envolées lyriques du 12 cylindres enchantent. Vers 3 000 tr/mn, le chant change de registre en passant de grave à chaud, puis à aigu en haut du compte-tours à 6 800 tr/mn. On utilise alors les palettes en oreille de lapin situées derrière le volant pour passer les rapports manuellement et surtout très rapidement. Un vrai régal. Plus bluffant encore, l’équilibre exceptionnel de cette grande berline. Le train avant est soudé par terre malgré le sol bien gras qui défile sous les roues. Dommage que la direction manque un peu de consistance. Sidérante cette fois-ci est l’efficacité redoutable de l’antipatinage. Sans jamais se montrer trop intrusif en coupant l’arrivée des gaz, il permet de profiter pleinement des 477 ch, encore une fois, même sur sol gras. A la fois grisante et sûre, cette Aston a même le mérite d’être très confortable.

Sécurité 14/20

Rouler en Aston, c’est avant tout appartenir à une classe à part, même s'il faut faire quelques sacrifices sur des équipements de sécurité que proposent les concurrentes. Ici, pas de phares automatiques, de système de vision nocturne ou de régulateur de vitesse adaptatif mais l’essentiel y est (ABS, ESP, antipatinage, 6 airbags et phares bi-xénon). Et l'adhérence, même sur route bien grasses (encore !), rassure.

Confort 15/20

Pour sa première berline depuis l’arrêt de la surprenante Lagonda en 1990, Aston ne s’est pas loupé. La Rapide offre un excellent compromis entre efficacité et confort. Jamais trop souple ni trop ferme, l’amortissement de cette Aston étonne. Ceux qui préfèrent mieux sentir la route, mais aussi se tasser les vertèbres, pourront toujours appuyer sur le bouton “sport” de l’amortissement piloté. Cela reste supportable, mais à quoi bon rouler en limousine pour voyager inconfortablement ? A l’arrière, il ne faut pas imaginer qu’il y a autant de place que dans une Mercedes Classe S longue. La surface minimaliste des vitres et la garde au toit un peu juste donnent un sentiment de confinement. Mais il y a de la place pour les jambes et les sièges, aux formes identiques à ceux de l’avant mais un peu plus petits, offrent un maintien irréprochable poussant le chauffeur à rouler de plus en plus vite.

Ecologie 6/20

Difficile de parler d’écologie lorsqu'on essaye une Aston Martin. Surtout quand on sait qu’il faut douze vaches pour tapisser de cuir l’intérieur de la Rapide. Ajoutée aux 345 g de C02/km et aux 14,6 l/100 km annoncés (nous étions plus proches des 22 l/100 km…), cette information risque de faire hurler les amis des bovins. Chez Aston, on dit que ce n’est pas bien grave quand on vend dans le monde au maximum 4 000 voitures par an.

Budget 8/20

Nous l’avions annoncée à 215 000 euros environ. Et, bonne surprise, la Rapide coûte en France 181 000 euros. Elle ne franchit donc pas la barre psychologique des 200 000 euros que certains millionnaires ont du mal à passer. A titre de comparaison, une Maserati Quattroporte Sport GT est facturée 135 416 euros et une Porsche Panamera Turbo 136 917 euros. Mais elles ont beaucoup moins de classe et un banal V8 sous le capot.

hervetoutsimplement · « **Réponse #2173 le:** 15 février 2010 à 11:14:12 »

Les Nissan électriques sont timbrées

80 yens. Soit 65 centimes d'euro. C'est le coût d'affranchissement d'une enveloppe au Japon, et c'est le montant des timbres qu'a sorti la poste japonaise en association avec Nissan. Il y a 2 séries, une pour retracer l'histoire de la Skyline, et une autre qui a retenue toute notre attention, puisqu'elle explique l'engagement de Nissan pour la voiture électrique, depuis plus de 60 ans.

La première était la Tama de 1947, la dernière est la Leaf. Aucune de ces autos n'a encore été commercialisée normalement, mais la Leaf devrait l'être à la fin de l'année, au Japon et aux Etats-Unis. Serait, car nous n'avons pas encore confirmation que la Leaf serait effectivement vendue. Elle ne serait dans un premier temps disponible qu'à la location.

Les timbres sont eux disponibles tout de suite. La feuille de 10 timbres (valeur 800 yens) est vendue 1200 yens (!), mais les collectionneurs ne s'offusqueront pas du surcoût. C'est un tirage limité qui ne peut que prendre de la valeur. La série de timbres dédiée aux Nissan électriques n'est pas vendue par correspondance, mais on la trouve dans tous les bureaux de poste de la préfecture de Kanagawa, où est établi le siège de Nissan.

hervetoutsimplement · « **Réponse #2174 le:** 16 février 2010 à 18:49:19 »

Marché européen : 2010 commence bien

Renault et PSA enchaînent les bons résultats au niveau européen, en se plaçant encore au-dessus d’une moyenne de ventes déjà élevée sur le mois de janvier, à +13%. Le marché français pointe également en bonne position à +14%, moins en forme toutefois que certains voisins.

En janvier, les immatriculations de véhicules particuliers neufs ont atteint 1 085 894 unités dans l'Europe entière (27 pays + EFTA), selon l'ACEA, soit une progression de 13% sur un an. Cependant, les immatriculations sont en retrait de -17,9% par rapport à janvier 2008, soit deux ans avant, ne manque pas de rappeler l'organisation des constructeurs européens. La hausse est restée présente dans de nombreux pays, comme la France (+14,3%), mais le marché allemand a entamé son déclin (-4,3%) après la fin des mesures de prime à la casse.

Renault devant Ford, Fiat et GM

Pour les constructeurs français, les résultats sont très corrects, au-dessus de la moyenne voire même très au-dessus. La performance de Renault en janvier est sans égale. La marque au Losange, qui bénéficiait il est vrai d'une base de comparaison particulièrement faible, a écoulé 115 655 véhicules sur le mois écoulé en Europe, 60% de mieux qu'en janvier 2009. Sa part de marché passe du coup de 7,5 à 10,7% et lui permet de repasser devant Ford, Fiat et General Motors qui la devançaient un an plus tôt.

PSA s’est montré un peu moins en vue, mais conserve un résultat très satisfaisant. Le Lion a fait mieux que la moyenne en affichant une croissance de 17,8%, qui lui confère une part de marché de 14% contre 13,4% un an avant. 151 629 véhicules ont été écoulés par Peugeot et Citroën le mois dernier.

Toyota s’en sort bien… pour l’instant

Dans les autres pays de l’UE, les hausses sont bien sûr en majorité, évoluant de 0,3% en Slovaquie à 62,1% au Portugal. Hormis l’Allemagne, les autres grands pays ont tous connu une évolution positive, +18,1% pour l’Espagne, 29,8% pour le Royaume-Uni ou 30,2% pour le Portugal. Seuls les pays de l’Est ne parviennent pas à tirer leur épingle du jeu (-47,5% pour la Bulgarie, -46,2% pour la Lituanie, -41% pour la Lituanie), avec notamment une baisse 84,6% pour la Roumanie.

Du côté des constructeurs, Volkswagen demeure le premier constructeur en termes de ventes, avec un total de 217 027 immatriculations, soit une hausse de 11,6% entre janvier 2010 et janvier 2009. Enfin les ventes européennes de Toyota n’ont pas été affectées plus que cela par le pedal gate, puisque le constructeur japonais a vu ses immatriculations augmenter de 10,3% avec 53 664 unités écoulées. L’effet secondaire est à surveiller en février.

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