Je n'ai pas l'impression d'être "riche", et pourtant j'ai un studio que je loue sur Brest.
Au lieu de laisser bêtement de l'argent dormir sur un livret, je l'ai investit, dans la "pierre", il y a quelques années déjà, et ma réflexion du moment me donne raison encore aujourd'hui.
C'est le problème de l'offre et la demande.
Il faut que le maire de Paris donne plus d'autorisations de construire, ou de réhabilitations, et les prix devraient baissés.
Brest est certainement un cas particulier où l'immobilier ne fait peut-être pas l'objet d'une spéculation démesurée comme c'est le cas de la région parisienne et de la plupart des grandes métropoles (Lyon, Marseille, Bordeaux, Montpellier, Toulouse...).
Construire plus ne suffit pas à stopper le phénomène spéculatif et les loyers inabordables. De plus, à Paris il y a pleins de logements vides.
http://m.leparisien.fr/paris-75/paris-75005/locations-paris-rouvre-la-chasse-aux-logements-vacants-09-03-2015-4589297.phpIl faut casser la spirale spéculative afin de permettre à un maximum de salariés qui travaillent à Paris d'habiter à Paris ou à proximité. De cette façon les flux de déplacements des franciliens seront plus cohérents et plus courts.
Il n'y a que comme cela qu'ont peut réduire la saturation du réseau routier et la saturation des transports en commun.
Le meilleur moyen pour bloquer la spéculation immobilière c'est l'encadrement des loyers et des prix pour que les logements reviennent à des prix raisonnables et en phase avec les revenus des classes populaires et des classes moyennes.