* Ma Toyota Célica 1.6 de 1990 a 1995.

Mon père a la Celica de la génération d'après (celle qui a l'avant qui ressemble à l'Alpine berlinette avec ses 4 phares ronds).
Il l'a depuis 1994 et il ne veut pas s'en séparer malgré ses presque 74 ans.
Il y a 2 ans, quand il souffrait de son dos au point de ne plus pouvoir s'asseoir dans sa voiture, en raison de son arthrose du canal lombaire, l'idée d'envisager de vendre sa Celica pour la remplacer par une bagnole classique à la garde au sol plus haute, l'a fait fondre en larmes...
Pour lui ça équivalait à se résoudre à devenir un vieux qui n'a plus d'autre option que d'attendre la fin de la vie. Ça voulait dire la fin d'une époque pour lui et un adieu à son unique voiture plaisir qu'il a eu dans sa vie.
Heureusement son opération du dos fut un succès en lui redonnant sa mobilité, tout en faisant disparaître ses douleurs lombaires.
Depuis il revit et il savoure chaque instant au volant de sa Celica qui lui permet de se sentir vivant.
Bref, vous l'aurez compris, pour mon père, sa Celica c'est plus qu'une simple bagnole. Elle représente sa capacité a encore pouvoir profiter de la vie...