Je trouve que ce sujet soulève des passions irraisonnées et injustifiées et je le déplore.
On est en 2023, la fin de la vente de véhicules thermiques neufs est pour 2035 et c'est tout, rien de plus.
À lire certains d'entre vous on dirait qu'il en va d'une atteinte à votre vie.
On mélange tout les sujets on fait des amalgames, on nie des évidences climatiques et environnementales qui nous sautent tous aux yeux.
Le problème ce n'est pas le véhicule, électrique ou pas.
Le problème c'est que l'être humain se croit tellement supérieur à ce qui l'entoure qu'il se croit apte à décider pour l'ensemble de l'univers qui l'entoure et qu'il sait mieux ce qu'il faut faire.
Allez continuez à faire les marioles mais venez pas chialer après.
Tout est lié, il faut arrêter de sortir des chiffres comme ça...sans les relier à une réalité concrète.
C'est un métier l'étude du climat.
C'est pas simplement un rapport simplifié pour que le bagnolard type puisse en tirer des conclusions qui l'arrangent.
De toute façon et de la manière dont ça se présente, ceux qui la ramènent le plus en ce moment sur ce sujet sont aussi les mêmes qui roulent au taquet et qui viennent après chougner parce que l'essence est de plus en plus chère.
Eh j'ai un scoop pour vous, l'essence elle va coûter de plus en plus cher et les mêmes qui sont en train de crier au scandale aujourd'hui seront les mêmes qui rentreront dans le rang dans quinze ans et viendront nous servir leur discours moralisateurs de je sais tout mieux que tout le monde.
Il y a dix ans, je lisais la même chose à propos de l'hybride: trop cher, inutile, pas fiable, truc de bobos écolo...il y a dix ans le diesel était roi, l'essence c'était pour les nases, on nous gavait avec le mazout...
Et quand le litre de carburants montait à l'époque...
Tenez, je vous laisse lire ça ci-dessous, pour mémoire

Comment les prix des carburants ont évolué en 2012
Par Caroline Piquet et Service Infographie
Publié le 02/01/2013 à 18:34 , mis à jour le 03/01/2013 à 15:59
Source: Le Figaro.fr
...
Mars et avril, mois des records
Il faut attendre le 14 mars 2012 pour qu'un nouveau record soit à nouveau battu. Dans une station parisienne, le litre de sans-plomb 95 dépasse les 2 euros. Fin mars, les prix s'envolent de plus belle. Le gazole vaut, en moyenne nationale, 1,481 euro par litre tandis que l'essence sans plomb bat son record le 9 avril 2012 avec un prix de 1,698 euro pour l'essence sans-plomb 95 et 1,703 euro pour le SP95-E10. Le sans-plomb 98 battait son record le 17 avril avec un prix de 1,723 euro.
Repli au printemps
Le mois de mai marque le début d'une importante baisse des prix. «Les États-Unis, la Chine et le Brésil connaissent un ralentissement économique. Ainsi, la consommation en carburant baisse et fait automatiquement reculer les prix», souligne Franck Ibled. Les prix descendent régulièrement pour atteindre fin juin 2012 des prix en recul de 16 à 18 centimes par litre pour les différents carburants par rapport aux plus hauts constatés. Le gazole vaut alors 1,324 euro, le SP95 1,519 euro et le SP98 1,569 euro par litre.
• Sursaut pendant l'été
our l'automobiliste, les départs en vacances s'annoncent bien... jusqu'à ce que les prix à la pompe repartent à la hausse. En un mois, les prix reprennent 12 centimes par litre. La grève des personnels pétroliers en mer du Nord et le regain de tensions autour du détroit d'Ormuz agitent les cours du brut. Par ailleurs, «il y a un regain de confiance sur la situation de la Grèce», commente Franck Ibled. En effet, les élections grecques, qui inquiétaient les marchés, donnent une victoire serrée mais cruciale au camp pro-européen et soulagent les investisseurs.
• Retour au calme
L'intervention du gouvernement fin août permet d'interrompre cette hausse des prix. Pendant trois mois, les taxes sur les carburants sont réduites de 3 centimes et les distributeurs de carburant s'engagent à réaliser des efforts équivalents sur la même période en réduisant leurs marges de 3 centimes par litre également. À partir du mois d'octobre, «on observe une certaine stabilité dans les prix, due à des opérations à prix coûtants orchestrés par les grandes enseignes de distribution françaises».
Si la mesure du gouvernement se termine le 1er décembre, les prix des carburants n'augmentent pas pour autant et restent même stables. En effet, les mesures annoncées lors du dernier sommet européen redonnent des couleurs à l'euro face au dollar. Résultat: «Le coût de l'importation des barils baisse, ce qui a un effet bénéfique sur les prix à la pompe.»