je ne comprends toujours pas le sens de ta remarque précédente:
si kerhadoc considère sa voiture comme un outil nécessaire à son travail, et pense logiquement en réduire l'usage quand il ne travaillera plus, c'est tout à son honneur et la planète lui dit déjà merci.
Dans ce cadre, une voiture "de travailleur" doit être fiable pour démarrer tous les matins et économique, pour ne pas plomber le budget. Si on parle d'un travailleur qui bosse avec / dans sa voiture, alors le confort est aussi un élément important. Et puis c'est tout....
Mais ça ne fait pas le bonheur de l'industrie automobile, qui vend du rêve et fait croire à de pauvres gens que leur statut social dépend de la marque, du type ou du prix de leur automobile. Pour paraphraser J. Séguéla, "si t'as pas ton SUV à 40 ans, t'as raté ta vie"....
Et les banques aussi, si on achetait pas -pardon si on ne finançait pas- du rêve, elles pourraient fermer leurs portes....
Donc, si symbolique il y a , elle ne lie pas tellement voiture et travail, mais plutôt voiture et statut social, donc voiture et vent.

Je confirme !
c'est comme cela que nos deux voitures étaient similaires (moyen+ et moyen -, toujours récentes et en état, assez facile à revendre soi même à contrario de nombre de collègues qui roulaient en "grosse" et/ou "premium" + 1 petite auto vieille et fatiguée pour madame (à la limite de la caricature!)
Par ailleurs, nous n'avons toujours eu nos deux jobs loin l'un de l'autre et la famille à l'autre bout de la France ...
d'ou l'importance d'une gestion fine des dépenses auto.
@Nadar Merci de tes remarques très pertinentes... et Zen
