J'adore évidemment l'oeuvre de Soichiro, mais je respecte l'oeuvre du fils avec Mugen, lui qui devait payer les Honda au prix cher. Une Honda cela se mérite.
Mugen a un atelier avec des machines de compétition, il recherche toujours la perfection.
Une idée de l'apprentissage du travail bien fait.
Lionel Lucas l'a rencontré, les passionnés attendent son tome 2.