Ton discours me fait penser à celui d'un syndicaliste, c'est tout 

Eh bien pas du tout. Je considère juste que si l'on considère ses salariés comme étant les forces vives de sa société et des "collaborateurs", on doit alors s'adresser à eux en tant que tels et non comme à des tires au flanc ou à des bourriquots.

Eh bien pas du tout. Je considère juste que si l'on considère ses salariés comme étant les forces vives de sa société et des "collaborateurs", on doit alors s'adresser à eux en tant que tels et non comme à des tires au flanc ou à des bourriquots.

Encore une fois, je pense que c'est une question d'interprétation car je n'ai vu aucune allusion dans la phrase de la DRH qui laissait sous-entendre qu'elle prenait les employés de Tesla pour des tires-au-flanc 

Syndicaliste = dangereux subversif extrémiste?  C'est toi qui l'a écrit 

Mais, arrêtons-nous là ... nous n'avons clairement pas le même point de vue et ce n'est pas grave 

C'est ce que la forme de ta question laisse sous entendre de ta représentation du syndicalisme... Et tu n'es pas le seul.

Le plus drôle c'est que, en considèrant le nombre total de salariés en France et le nombre total de dirigeants d'entreprise en France avec au moins 1 salarié, il y a peut-être proportionnellement autant d'employeurs syndiqués chez les organisations syndicales patronales qu'il y a de salariés syndiqués chez les organisations syndicales salariées.

C'est vrai que ton discours est parfois très militant.....bref, il y a certainement aussi une partie des salariés, qui comme certains d'entre nous ici, n'ont pas eu l'impression d'être pris pour des bourricots en recevant ce mail.

Très certainement, jusqu'au jour où à force de tout considérer comme normal ou de ne pas réagir par facilité, ils finissent par subir individuellement les effets d'une direction qui a adopté progressivement une ligne managériale basée sur la terreur.

Très certainement, jusqu'au jour où à force de tout considérer comme normal ou de ne pas réagir par facilité, ils finissent par subir individuellement les effets d'une direction qui a adopté progressivement une ligne managériale basée sur la terreur.

Peut-être, on peut toujours imaginer le pire.....c'est pas ma nature.

Très certainement, jusqu'au jour où à force de tout considérer comme normal ou de ne pas réagir par facilité, ils finissent par subir individuellement les effets d'une direction qui a adopté progressivement une ligne managériale basée sur la terreur.

Après, les salariés ont toujours la possibilité de quitter l'entreprise pour changer de job, si la direction est à ce point exécrable. Ce n'est pas une démarche facile (difficulté à trouver un autre job, chômage, ...) mais c'est toujours une option et une entreprise n'a pas intérêt à avoir une trop grande volatilité de l'emploi (coût de recrutement et formation des nouveaux employés) ... je pense que c'est la base pour un DRH de savoir comment retenir au maximum ses employés.

Indépendant c'est bien mais en cas de "coup dur", tu es aussi seul ... tout seul. Je pense que beaucoup d'indépendants s'en sont rendus compte durant la crise du covid 

"Il vaut parfois mieux être seul que mal accompagné".
Quand ton employée d'annonce juste à la fin de la formation qu'elle attend un "heureux" événement, quand l'employé en qui tu avais entière confiance se fait la malle pour développer un business concurrent en emportant au passage ton carnet de contacts et le code source de tes développements, quand l'inspection du travail te fait chier parce que les plafonds de tes locaux début 19°S ne sont pas conformes aux normes d'incendie, tu te dis que le travail en indépendant "one-person business" sur une île déserte, finalement ça a aussi ses charmes....

et en cas de Covid, tu risques moins d'être contaminé par tes employés ! 

Par tes employés, certes ... mais il reste les clients