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Auteur Sujet: La fin du diesel ?  (Lu 867556 fois)

Penguelen

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Re : Re : Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3300 le: 16 octobre 2017 à 11:51:01 »
- première ligne : nous n'avons pas d'enfant
Ouais, ça j'avais compris.... mais le reste (et même si il aurait : c'est tirez votre plan comme nous.)

- seconde ligne : ce n'est pas de l'humour, car nous avons le droit de PROFITER de sa Liberté et de ne pas être a disposition d'aller chercher les gosses a l'école ou de les prendre en VA.
Oh le droit, sûrement.... Des droits, y a plus que ça de nos jours....
Pour ce qui est de profiter, si tu es en retraite maintenant, c'est que tu fais probablement partie d'une génération qui a déjà beaucoup profité (plein emploi, départ à la retraite tôt, plus d'accumulation de richesse que les conditions actuelles ne le laissent espérer à la jeune génération d'aujourd'hui.... je parle de la génération en général pas forcément de ton cas particulier). Bien profité au détriment des jeunes générations d'aujourd'hui aussi (dette, durcissement des conditions d'emploi, de prestations sociales, etc).
Pour ce qui est d'être à disposition, peut être n'as tu pas bénéficié de toute l'attention de tes parents et/ou grands parents....peut être l'as tu simplement oublié.
Je connais aussi beaucoup de personnes dans ta situation (avancée en age et pas d'enfant) qui s'inquiètent de ne pas pouvoir compter sur les enfants et petits enfants pour prendre soin d'eux lorsque les problèmes de santé et de dépendance pourraient arriver. Tu vois le fait d'être disponible uniquement comme un contrainte, mais ce n'est pas à sens unique (évidemment, si tu éduques des enfants dès leur plus jeune âge avec l'unique idée qu'ils ont le droit de bien profiter mais sans l'idée concomitante que cela implique le devoir de rendre, éventuellement en temps différé, ce qu'on a reçu, y a pas grand chose à espérer.... et c'est bien l'un des maux de notre société actuelle. Beaucoup de droits et peu de devoirs....Sale mentalité) .

Bref, j'arrête là, je sens que cet échange va vite me gonfler....

« Modifié: 16 octobre 2017 à 12:07:43 par Penguelen »

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3301 le: 16 octobre 2017 à 12:30:06 »
@ Penguelen : Merci pour la consultation. ;D mais ce n'était pas nécessaire.



Mazda CX-30 Skyactiv X 180cv (bva) 100ièmè anniversaire
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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3302 le: 16 octobre 2017 à 12:37:01 »
Si cela continue les gens vont rentrer avec leur véhicules dans la boulangerie, la boucherie et même a l'école.

Chance qu'il n'y a pas de moteur sur les trottinettes des petits enfants qui vont en classe, on pourrait ajouter cette pollution.
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Hors ligne zouzou60

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3303 le: 16 octobre 2017 à 13:47:26 »
Le désamour du diesel va-t-il tuer la LOA et la LLD ?

Il y aura quelques pertes mais le marché s'adaptera!!!

Avec le dieselgate, les interdictions à venir, sa mauvaise image, les scandales annexes autour de la pollution de ces moteurs, et en parallèle le regain d'intérêt pour les voitures essence, les prévisions de valeurs résiduelles d'une automobile sont (très) difficiles. Et cela menace le principe de l'achat en location. LLD et LOA sont-elles condamnées ? Explications :

http://www.caradisiac.com/le-desamour-du-diesel-va-t-il-tuer-la-loa-et-la-lld-163529.htm
Accord Tourer gen8 2.4l BVA luxury (2013), une des dernières vendues en France. Prelude gen3 2l 16s 4WS (1989), un rêve!
Ex Accord Tourer gen7 2l BVA Sport (2003).

Hors ligne fred_fox

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3304 le: 16 octobre 2017 à 18:07:50 »
Tient je viens de trouver un nouvel article populiste alors j'en fait partager le forum (pour le plaisir)
http://www.caradisiac.com/voiture-electrique-quand-la-chine-nous-electrocutera-163519.htm
Monsieur CRV VI HEV Advance Blanc
Madame CRV V Hybrid Exclusive Blanc, Fils Ainé CRZ Sport Gris, Fils Cadet JAZZ Exclusive BM Acier Cristallin
 R5 L de 1972 / AUSTIN Maestro / Escort GT / Mondeo / Safrane / Passat break / Espace IV / C4 Bmp6 / CRV III i-dtec Bm Innova 2010 / 3008 Bmp6 / CRV IV i-dtec BA Innova 2013 / Hyundai i40 / CIVIC Tourer 1,6iDtec Innova / CRV IV Restyl 1.6 iDtec BA Innova Blanc

Désiré le 1.8 i-VTEC

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3305 le: 16 octobre 2017 à 18:53:09 »
Shell buys operator of electric vehicle charging points


Quand je disais que je faisais confiance à la sagacité des groupes pétroliers pour investir dans l'électrique...

Citer
   OCTOBER 12, 2017 by David Sheppard, Adam Samson
Big Oil is gearing up to become Big Electric.

Royal Dutch Shell, one of the world’s largest producers of fossil fuels, has agreed to buy one of Europe’s biggest electric vehicle charging companies, marking a significant push into a market that threatens to one day upend the oil industry.

The company said on Thursday it has agreed to buy NewMotion, a Netherlands-based provider of more than 30,000 private electric charging points for EVs, with plans to eventually roll out the technology across the majority of Shell’s 45,000 branded service stations globally. Terms of the deal were not disclosed.


https://www.ft.com/content/04f60a64-564d-3b31-8e3a-e85206d536e3
« Modifié: 16 octobre 2017 à 18:55:22 par Désiré le 1.8 de Mouss »

Désiré le 1.8 i-VTEC

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3306 le: 30 octobre 2017 à 14:57:50 »
Toyota s'apprête à arrêter les moteurs diesels

Citer
Alors que le diesel attire de moins en moins les foules, certains constructeurs pensent même à l'arrêter complètement au sein de leur gamme dans un avenir proche. C'est le cas du japonais Toyota.

http://www.largus.fr/actualite-automobile/toyota-sapprete-a-arreter-les-moteurs-diesels-8810396.html

Hors ligne dauga40

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3307 le: 30 octobre 2017 à 15:36:24 »
Bonjour,

le CR-V de 2018 n’existera qu'en essence et hybride ? les motorisations sont connues ?
Honda Jazz 1.2 Elegance 2014
Nissan Micra 1.2 Acenta Connect 2011
BMW Active Tourer 218d Lounge bva 8

Hors ligne zouzou60

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Re : Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3308 le: 30 octobre 2017 à 16:17:16 »
Bonjour,

le CR-V de 2018 n’existera qu'en essence et hybride ? les motorisations sont connues ?

1,5l turbo d'environ 190 ch et hybride 2l.
Accord Tourer gen8 2.4l BVA luxury (2013), une des dernières vendues en France. Prelude gen3 2l 16s 4WS (1989), un rêve!
Ex Accord Tourer gen7 2l BVA Sport (2003).

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Re : Re : Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3309 le: 30 octobre 2017 à 16:20:10 »
1,5l turbo d'environ 190 ch et hybride 2l.

Pas de diesel. A priori ce n'est pas prévu.

benes67

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3310 le: 02 novembre 2017 à 23:34:25 »
à méditer ...............

La stratégie tout électrique des pouvoirs publics : entre inconséquence et incohérence
 

La chronique de Bertrand Rakoto, analyste indépendant dans l’intelligence de marché. Après plusieurs années dans l’automobile, entre autres chez RL Polk, et après avoir eu un cabinet d’analyse en France (D3 intelligence) il est désormais basé aux Etats-Unis où il poursuit son activité depuis Détroit.

Une auscultation profonde de la stratégie politique liée aux véhicules électriques révèle une forme d’imposture. C’est la constatation la plus évidente au regard des moyens mis en œuvre et de l’état des technologies disponibles pour le déploiement des véhicules électriques. Je ne parle pas des véhicules électrifiés type hybride parallèle ou hybride série mais des véhicules exclusivement électriques, souvent désignés par l’acronyme BEV (Battery Electric Vehicle). A ce jour, la croissance du marché reste très éloignée des objectifs ambitieux annoncés depuis des années. Pour mémoire, Carlos Ghosn déclarait en 2010 que le marché des véhicules électriques devrait atteindre 10% du volume mondial en 2020 (1). Avec un volume de 0,85% l’an dernier, la prévision la plus réaliste situe le marché entre 1% et 1,5% d’ici à 2020.

A l’heure actuelle, plus d’une douzaine de villes souhaitent interdire l’accès aux véhicules thermiques à partir de 2030 (2) et 12 pays (3) souhaitent interdire les véhicules essence et Diesel d’ici 2040. Cette vision péremptoire semble assez déconnectée des réalités environnementales, sociales et économiques. Une approche écologique et technologique serait plus indiquée pour résoudre les problèmes de mobilité et de pollution. Mais une telle démarche demande plus d’investissements que de restrictions, d’où les écarts importants entre le contenu des annonces et ce qu’il est possible de faire en réalité.

Des failles béantes dans les stratégies politiques
Le premier élément notable est l’absurdité d’une démarche monotype. La technologie électrique ne répond pas à l’ensemble des besoins de mobilité mais à quelques segments en particulier. Imposer le BEV comme unique solution est une atteinte pure et simple à la liberté de mobilité individuelle. Les avancées de ces dernières années ne permettent toujours pas de résoudre les nombreux problèmes techniques (temps de charge), environnementaux (pollution à la fabrication), le tout pour un coût raisonnable. Une Renault Zoe est vendue plus de 23 000 € et, à ce prix, les batteries ne sont pas comprises. Une Tesla S est un véhicule dont la qualité intérieure et les équipements sont en décalage avec le positionnement et le prix de vente du véhicule. Bien que des progrès soient réalisés et les perspectives de volumes doivent aider à abaisser les coûts, il est strictement impossible qu’un véhicule électrique devienne abordable rapidement.

En effet, la démarche des pouvoirs publics accompagnés de financement industriels privés est totalement insuffisante pour atteindre les 20% que tout le monde envisage pour 2025. Les dernières annonces des constructeurs qui consistent à ajouter de plus en plus de modèles électriques dans les huit prochaines années ne font qu’ajouter de nouveaux problèmes. D’après Volkswagen, il faudrait près de 40 nouvelles Gigafactory (4) si on veut être en mesure de produire les batteries pour ces véhicules. Cela impose de démarrer dès maintenant et d’investir près de 200 milliards d’euros pour la seule construction des usines. Il faut ajouter à cela les centrales électriques. De préférence il est nécessaire de construire du nucléaire puisque l’électricité renouvelable ne produit pas à la demande.

L’impact environnemental des véhicules électriques n’est pas neutre puisque la production des batteries nécessite l’extraction de matériaux, puis l’utilisation de composés chimique, de l’eau et des températures élevées. Au final, la production d’une Tesla Model S génère 17,5 tonnes de CO2 (5) à comparer aux 5 tonnes de CO2 émises par la production d’un véhicule thermique (6). Il est d’ailleurs intéressant de noter que sur une distance de 175 000 km, un véhicule électrique génère la même quantité de CO2 qu’un véhicule thermique puisqu’un BEV équipé d’une batterie émet au total 38.9 tonnes de CO2 sur cette distance contre 39 tonnes pour un véhicule à essence (6). Pour réaliser ce calcul, il faut tenir compte de la production du véhicule, de la production de son énergie et de sa consommation. D’après Carbonfund (7), la production d’un kWh d’électricité émet en moyenne 0,0005925 tonne de CO2. Le reste dépend du nombre de charges à réaliser pour atteindre 175 000 km, soit environ 482 charges pour atteindre ce kilométrage avec une batterie de 75kWh.

Aujourd’hui, le recul n’est pas suffisant pour vraiment connaître l’impact environnemental des véhicules électriques. L’extraction des matériaux et le recyclage des batteries sont des points encore sensibles puisque si les matériaux coûteux sont recyclés dans les batteries, le lithium ne l’est pas car il est difficile à réexploiter et certains éléments sont tout simplement incinérés. Certaines solutions de recyclages sont connues et d’autres en phase de développement, mais aucune n’est, pour le moment, satisfaisante. Il est donc impératif d’agir avec précaution.

Les futures batteries vont devoir être propres et rechargeables en peu de temps car l’autonomie est un faux problème. Le seul objectif réel de l’augmentation d’autonomie est de rendre moins contraignant le besoin et le temps de charge. Le poids des batteries est également contre-productif puisque plus le véhicule est lourd, plus le rendement est négativement impacté. Le rechargement des batteries nécessite également un acheminement et une production d’électricité en rapport direct avec la demande. Dans les pays où la production électrique est nucléaire, cela ne pose pas de problème tant que la production est suffisante. En revanche, les pays émergents et les nouveaux marchés ne disposent pas d’une production électrique aussi peu impactante pour l’environnement. Ils n’ont donc pas la capacité d’alimenter un marché de la mobilité en pleine croissance. Le cas du renouvelable est anecdotique car la production ne coïncide pas nécessairement avec les heures de recharge (la nuit le plus souvent). Ajouter des batteries au renouvelable pénaliserait l’impact environnemental lié au cycle de vie et au rendement des batteries dont le nombre de cycle est, pour le moment, encore limité.

Pour toutes ces raisons, le potentiel de l’automobile électrique est limité pour encore un grand nombre d’années. Pour le moment, le véhicule électrique est un marché sous perfusion. Chaque étape a fait l’objet de subventions, depuis la recherche et la production jusqu’à l’achat. L’abandon des aides à l’achat se solde souvent par une chute des ventes (8). A ce sujet, il sera intéressant de surveiller la réaction des marchés américains et norvégiens l’année prochaine car Tesla va perdre son crédit d’impôts aux Etats-Unis et la Norvège a prévu de supprimer les aides à l’achat de BEV en 2018.

Le dernier handicap de taille est fiscal. Il pourrait trahir la fausseté des discours politiques. Les revenus de la TIPCE (Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) représente plus de 5% des ressources de l’Etat. Une forte augmentation des ventes de BEV et le renouvellement du parc actuel réduiraient fortement les revenus de l’Etat. Les raisons de la mauvaise volonté politique en matière d’investissements deviennent alors assez évidentes si en prime les décisions mènent à une baisse des revenus de l’Etat.

Quel plan B pour devenir le plan A ?

A la lueur d’un certain nombre de problèmes encore irrésolus, le marché des véhicules électriques est voué à rester limité dans les années à venir. Il devient alors difficile de croire que la mobilité électrique va supplanter le thermique ou l’hybride dans les 20 années à venir. Car la mobilité implique, par ricochet, de nombreux domaines économiques comme, par exemple, l’urbanisme, l’emploi, l’éducation, le commerce. Sans politique publique forte liée à des investissements conséquents et des concessions fiscales et financières importantes, toute velléité d’imposer l’électrique par la contrainte est voué à l’échec dans la totalité des cas.

La mobilité va également agir en faveur de solutions plus économiques et plus écologiques. En effet, les véhicules autonomes et les opérateurs de mobilités vont naturellement orienter le marché vers des solutions moins coûteuses, plus simples et plus propres que les véhicules automobiles que nous connaissons aujourd’hui. Il faut, pour cela, développer des solutions répondant à la fois aux besoins de mobilité c’est-à-dire à des contraintes d’utilisation intensive, de simplicité pour les usagers, de faibles coûts d’exploitation et de facilité de rechargement et de maintenance. De nombreuses solutions sont actuellement à l’étude ou sur le point d’être commercialisées comme les moteurs à pistons opposés d’Achates Power ou de Pinnacle Engines ou bien encore la technologie hydraulique d’Ingocar. Ce sont là des exemples de nouveaux types de propulsions qui réduisent les émissions de moitié ou plus, qui permettent de réduire le poids des véhicules tout en étant peu coûteuses car moins complexes que les solutions actuelles. L’arrivée des biocarburants de seconde génération (issus de la biomasse et des déchets) réduiraient encore un peu plus l’impact environnemental.

Il faut être patient et attendre que la mobilité révolutionne l’automobile tout en favorisant le développement de nouvelles technologies. Il faut miser de façon pragmatique sur des technologies de transition en attendant de rechercher et développer des solutions électriques viables avec un modèle environnemental et économique durable.

Hors ligne zouzou60

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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3311 le: 02 novembre 2017 à 23:41:27 »
M. Rakoto est quelqu'un que je suis depuis ses débuts, il n'avait pas encore son cabinet! C'est un fervent défenseur du thermique au point où il en oublie notre dépendance au pétrole et je pense à signaler !
À part cela, il est très bon!
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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3312 le: 02 novembre 2017 à 23:44:39 »
* Qu'elle est la solution alors  ??? rouler au gaz  :tickedoff:
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Hors ligne zouzou60

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Re : Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3313 le: 03 novembre 2017 à 00:17:05 »
* Qu'elle est la solution alors  ??? rouler au gaz  :tickedoff:
Cela dépendra du pétrole !
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Re : La fin du diesel ?
« Réponse #3314 le: 03 novembre 2017 à 08:46:24 »
Je suis globalement en accord avec ce qu'écrit Mr Rakoto.
Selon moi le tout électrique n'est pas LA solution.
Un faisceau d'offres et de possibilités de mobilité proposées seraient plus en phase selon moi.
Et je ne pense pas que les subventions à l'achat soient  très souhaitables.
Et c'est pourquoi je ne vois pas le tout électrique comme la panacée, mais davantage un ensemble composé en partie de thermique, d'hybride, d'hybride rechargeable et de quelques autres de type GNV si tristement marginalisé pourtant.
Durant ces 30 ou 35 dernières années pourtant et pour notre seul beau pays qu'est la France on a aussi favorisé et même surfavorisé le moteur diesel, le carburant diesel et on a littéralement arrosé le diesel à toutes les sauces.
Cela aussi c'est trop et oui il y a trop de diesel en circulation.
Les ratios sont très parlants. Et les vieux véhicules roulent encore et toujours...
Nous nous souvenons tous de promos du type le diesel au prix de l'essence chez moult revendeurs à grand renfort de communication et publicités diverses. Nous constatons encore tous les jours les différences nettes du tarif à la pompe, bien que tendant à se resserer ces derniers temps. Oui il y a au bas mot 30 ou 35 ans de faveurs accordées au diesel et oui c'est pour cela que tout le monde s'y est mis.
Il semble que cela tende à s'achever, trop doucement peut-être pour nous permettre d'échapper à un scandale sanitaire et humain ainsi que ce pendant difficile à empêcher que sont les enjeux climatiques sous jacents qui promet de nous toucher tous avec bien plus de certitude.