Et vive les voitures électriques, qui ne polluent absolument pas et qui utilisent de l'électricité 100% propre.
Ne pas polluer, polluer moins, polluer peu.
Serait déjà beaucoup.
Il n'y a pas de modèle 100% vertueux et toute la problématique vient de là.
Quand je marche ou quand je circule à vélo classique, c'est là que je pollue le moins.
Et pourtant je pollue toujours un peu.
Quand je roulais de 2006 à 2012 en Yaris Verso D4D, je me voyais rouler en hybride pour diminuer mon impact en tant d'automobiliste.
Alors ensuite quand je roulais en Insight, toute hybride qu'elle était avec ses 101 g de Co 2 elle polluait.
Mais moins.
Quid des batteries?
M'a-t-on dit à l'époque.
A cette époque la question venait de personnes roulant tant à l'essence que au diesel.
Avec des citadines ou des grosses berlines et de fringants 4x4 ou des sportives allemandes aujourd'hui surmalussées.
Puis j'ai roulé avec une Civic 1.8 de 142 ch et de 148 g de Co 2.
Elle est aujourd'hui remplacée dans la gamme par un 1.0 Turbo de 126 ch et 115 g de Co2 environ selon les transmissions.
Aujourd'hui je roule dans une Jazz 1.3 de 114 g de Co 2 qui sera demain considérée comme un véhicule polluant et indigne de rouler.
Toute cette démarche que j'ai engagée pour rouler moins et rester vertueux dans mon approche raisonnée de l'automobile se heurte à la démarche inversement vertueuse de l'industrie automobile ou autre.
Tant que la logique de profit se heurtera a la logique de vie en bonne intelligence avec la nature qui nous entoure et qui crève de nos pitoyables errements coupables...
L'idéal automobile responsable, respectueux et vertueux n'existe pas mais on peut toujours espérer s'en approcher.